jeudi 22 avril 2010

22 avril

Informatisation des dossiers médicaux : Les médecins lassés du papier
Déplorant le faible taux d'informatisation des dossiers médicaux dans les cliniques québécoises, les médecins omnipraticiens demandent 150 millions de dollars au gouvernement Charest pour rattraper le retard. La Fédération des médecins omnipraticiens pense qu'il faudrait investir 40 000 dollars par médecin pour rattraper le retard. Cet investisement serait rentable : l'efficacité des médecins pourrait augmenter d'au moins 10% s'ils étaient en mesure de numériser les dossiers médicaux de leurs patients. (radio-canada.ca)

Je tweet, moi non plus
(Chronique de Nathalie Petrowsky) Allison Louise Kennedy, une écrivaine et humoriste écossaise publiait dimanche dernier un article dans The Observer sur Twitter. "Aller sur Twitter, c'est comme aller dans un café ou un pub, écrit-elle. Il y a des gens qu'on évite. D'autres vers lesquels on converge naturellement et qu'on écouterait pendant des heures tant ils ont des histoires fascinantes à raconter". Pour elle, Twitter est à la fois un exercice de style, une façon de combattre l'isolement mais surtout un prétexte pour parler des arts sans suivre le chemin balisé par les arbitres officiels. "Comme bien des artistes, poursuit Kennedy, je tweet pour me sentir moins isolée du public, mais aussi parce que je suis fatiguée d'être mal représentée par des intermédiaires qui mystifient ou alors qui simplifient à outrance mon travail." (cyberpresse.ca)

mercredi 21 avril 2010

21 avril

Facebook abandonne son projet de version allégée proche de Twitter
Le site internet de socialisation Facebook annonçait hier qu'il abandonnait une version allégée de son site, Facebook Lite, qui semblait se rapprocher du site de microblogging Twitter. "Nous ne l'offrons plus mais nous avons beaucoup appris en testant un site simplifié", a fait valoir la direction de Facebook. Facebook Litre avait d'abord été testé en Inde et dans d'autres pays où les légiosn de nouveaux utilisateurs "cherchent à d.marrer avec une approche plus simple". (technaute.ca)

Les cyberattaques en hausse partout dans le monde
Selon le rapport annuel de la société de sécurité informatique Symantec, les menaces sur Internet ont grimpé de 71% l'an dernier. "On constate une mondialisation de la cyber criminalité, avec de nouveaux pays comme le Brésil, la Pologne, la Roumanie, la Turquie..." une expansion liée au développement de l'internet à haut débit dans ces pays-là. Il s'agit alors "d'utilisateurs qui ne sont ni habitués ni formés" aux cyberattaques comme les spams, les virus ou les faux sites internet, notamment dans les cybercafés, tandis que "les forces de l'ordre non plus ne sont pas habitués" à ces menaces. En 2009, les États-Unis et la Chine arrivent en tête de classement dans les attaques de cybercriminalité, surtout en raison de leur très grand nombre d'internautes. Le Brésil est en troisième position, devant l'Allemagne et l'Inde. Le Canada est en 16e position. (technaute.ca)

L'attaque contre Google en Chine touche le système de mot de passe
En décembre dernier, l'attaque informatique contre Google a touché le système de mot de passe du moteur de recherche. Elle aurait été conduite après l'envoi d'un message à un employé chinoisde Google, via messagerie MSN. Dans ce message, un lien renvoyait vers un site malveillant, depuis lequel les attaquants ont pris le contrôle de l'ordinateur de l'employé concerné, puis pénétré plus avant le système Google pour finir par toucher Gaïa. Gaïa est un logiciel très secret qui permet aux utilisateurs et employés de se connecter une seule fois avec leur mot de passe pour accéder à divers services dont la messagerie et d'autres applications Google. (technaute.ca)

Retrait de données sur Google : le Canada a fait 16 demandes
Hier, Google a lancé un site révélant dans quelles proportions les États du monde entier font appel au géant américain pour censurer des données les concernant ou lui demander de leur fournir des informations sur les internautes. "La censure gouvernementale sur le web augmente rapidement et va du blocage total et du filtrage de sites aux décisions judiciaires limitant l'accès à l'information et aux législations obligeant les entreprises à s'autocensutrer" explique David Drummond, directeur des services juridiques de Google. "Il n'y a rien de surprenant à ce que Google, comme d'autres entreprises du secteur des technologies et des télécommunications, reçoive des requêtes d'agences gouvernementales pour supprimer du contenu de nos services", ajoute-il. "La grande majorité de ces demandes sont légitimes et les informations nécessaires pour les besoins d'enquêtes de police". (technaute.ca)

Ubisoft abandonne les manuels de ses jeux
Ubisoft s'apprête à se débarrasser des manuels imprimés accompagnant ses jeux vidéo pour consoles PlayStation 3 et Xbox 360, les remplaçant plutôt par des guides numériques inclus à même le jeu. Ubisoft affirme que l'inclusion du manuel dans le jeu offrira au joueur un "accès plus facile et plus inuitif" à l'information, de même qu'un "manuel plus robuste". (technaute.ca)

Alerte à la panne informatique
Les systèmes de technologie de l'information du gouvernement fédéral se font tellement désuets que, faute d'investissements suffisants pour les mettre à niveau, Ottawa pourrait peiner à offrir ses services essentiels aux Canadiens, comme le versement de prestations d'assurance-emploi ou le remboursement de cotisation d'impôt. La vérificatrice générale Sheila Fraser : "Les systèmes de technologies de l'information fonctionnent avec des applications dépassées et risquent de tomber en panne." S'il accepte les critiques et recommandatiobns de la vérificatrice, le Conseil du Trésor souligne en revanche qu'il n'est pas responsable de formuler les besoins en matière de financement et d'investissements. Ce sont plutôt les ministres et le cabineT qui s'en chargent et wui prennent les décisions dans le domaine. Le président du Conseil du Trésor a demandé à tous les ministères de présenter leur plan pour résoudre les problèmes. (ledevoir.com)

Des happening qui tournent au vinaigre
Avant, les flash mobs, consistaient en des rencontres spontanées farfelues mais inoffensives organisées via internet dans des lieux publics. Aujourd'hui ces mobilisations éclair de groupes ont un goût amer. À Philadelphie, les flash mobs ont pris un tour agressifs. Des centaines d'adolescents se retrouvent dans le centre-ville pour un rituel qui tient du harcèlement et de la course de taureaux : ils descendent la rue en courant et s'arrêtent parfois pour se bagarrer, agresser les passants ou se livrer èa des actes de vandalisme. Les flash mobs ne sont pas une spécialité de Philadelphie. Les autorités se font désormais aider par le FBI pour surveiller les réseaux sociaux sur Internet. Bill Wasik, rédacteur en chef de Harper's Magazine, revendique l'organisation de la première flash mob en 2003 déplore que ces manifestations tournent maintenant à la violence. (courrierinternational.com)

L'apéro géant de Chartres interdit par arrêté préfectoral
Même si l'organisateur de l'apéro géant prévu ce week-end à Chartres, en France, la préfecture de police croit savoir que les internautes comptent bien la maintenir. Aucune autorisation offcielle n'a été délivrée. Les participants à Chartres sont invités sur Facebook à apporter individuellement de l'alcool et à en consommer suffisamment pour battre Rennes et Nantes... deux villes ayant accueilli des apéros géants réunissant des milliers de personnes... (liberation.fr)

Street View bientôt dans les commerces?
Google a mis en ligne son site Business Photos, proposant aux entreprises d'aller prendre des photos panoramiques de l'intérieur de leur commerce. Le géant du web affirme qu'il a l'intention de mettre ces photos dans on outil Google Places, lequel est lié à Google Maps. Les internautes pourront entrer virtuellement dans les cafés, les magasins et les hôtels de ville. Google étendra le programme aussi vite que possible. (technaute.ca)

lundi 19 avril 2010

19 avril

Internet se mobilise pour aider les "naufragés" du volcan
Les sites internet fleurissent depuis ce week-end pour proposer des solutions alternatives de logement et de transport aux voyageurs coincés à cause du nuage de cendres. Les initiatives se multipliennt sur internet pour proposer des moyens de transport alternatifs. Sur Facebook, le groupe "Carpoll Europe" compte déjà près de 2000 membres qui s'échangent en temps réel des bons plans. Sur Twitter aussi, la mobilisation est importante. À l'aide do mot-clé "ashtag" ou "volcan", il est possible d'accéder à des dizaines de plans pour trouver une voiture, un bus, un ferry. Par ailleurs, l'opérateur téléphoniques islandais Mila a disposé trois webcams autour du volcan afin de suivre en direct son activité. À l'aide du logiciel Google Earth, il est aussi possible de suivre l'évolution du nuage. Internet permet aussi d'observer en direct l'évolution du trafic aérien. Sur des sites comme radarvirtuel.com et flightstats.com, qui utilisent la technologie Google Map, il est possible de visualiser les avions en vol dans le monde entier et de savoir en un clin d'oeil si un aéroport est ouvert ou fermé. (lefigaro.fr)

Le volcan utilisé pour diffuser des virus informatiques
L'éditeur d'antivirus Panda Security révèle que plusieurs faux sites ont été mis en place pour tenter d'attirer les internautes à la recherche d'informations sur l'iruption volcanique islandaise et ses conséquences. Ciblant les internautes anglophones, ces sites, tous construits sur le même modèle, forment un réseau lié pour bénficier d'un meilleur référencement dans les moteurs de recherche. Certains des sites, qui existent depuis longtemps, semblent héberger les pages malveillantes à l'insu de leurs administrateurs. Ils peuvent apparaître sur la première page de résultats lors de recherche comme "Iceland Volano News" ou "Iceland Volano Images". Un ativirus à jour permet cependant de détecter la tentative d'installation. (lemonde.fr)

Création d'une fédération internationale des partis pirates
Les principaux partis pirates mondiaux, réunis en congrès à Bruxelles ce week-end, ont entériné la création d'une confédération internationale, baptiséeParti pirate international (PPI). Les partis pirates d'une quarantaine de pays ont décidé de joindre le PPI. Jusqu'à présent sans liens officiels, les différents partis pirates défendent une base commune de revendications, principalement une réforme des droits d'auteur et des brevets et une protection accrue de la vie privée. Le premier Parti pirate a été créé en Suède en 2006 et a obtenu 7,1% des voix et un député aux élections européennes de 2009. (lemonde.fr)