jeudi 8 octobre 2009

8 octobre

The Pirate Bay s'installe dans un bunker hollandais
L'épopée The Pirate Bay continue... Après la Suède, puis un rapide passage en Ukraine, le bateau pirate jette l'ancre aux Pays-Bas, abrité dans un bunker anti-atomique ! Le site fugitif s'est installé chez l'hébergeur CyberBunker, dans un ancien bunker de l'OTAN capable de résister à des attaques nucléaires, biologiques et électromagnétiques, dans un lieu tenu secret pour des "raisons de sécurité". L'association hollandaise pour la protection des droits d'auteur (la BREIN) ne voit pas d'un bon œil cet amarrage et se préparerait à se lancer à l'abordage du bunker perdu en pleine forêt. CyberBunker se dit peu impressionné... (20minutes.fr)

Souriez, les internautes vous observent
« Gagnez de l’argent. Participez à la réduction du nombre de crimes. Devenez peut-être un héros et sauvez des vies », promet Internet Eyes, littéralement les Yeux d’Internet. La jeune entreprise britannique invite les internautes à former la plus grande entreprise de vidéosurveillance du monde. Une paire d’yeux derrière chaque caméra, ou presque.
Dès novembre, lorsque le service sera lancé, chaque membre inscrit se verra confier la charge de quatre caméras. Proclamé « viewer », ou veilleur, il aura accès aux images de surveillance en temps réel depuis son propre ordinateur. La délation devient un jeu. Tentative de vol, vandalisme ou simple comportement antisocial : chaque agissement suspect signalé par SMS permet de marquer des points. Tous les mois, l’internaute qui a le meilleur score remportera la jolie somme de 1000£. Avec 4,2 millions de caméras sur son territoire, la Grande-Bretagne compte l’un des maillages de vidéo-surveillance les plus serré au monde. Pourtant, « la criminalité est en hausse et les taux de condamnations sont en baisse », déplore Internet Eyes sur son site. L’entreprise explique ces mauvaises statistiques par le simple fait que pour 90% des caméras, personne n’est devant l’écran au moment où l’infraction est commise. (Liberation.fr)

Aide gouvernementale à la CSeries : Washington interroge Ottawa
Incité par Boeing, Washinton a communiqué avec Ottawa pour vérifier si l'aide gouvernementale canadienne accordée à Bombardier pour le développement des CSeries respectait les règles internationales du commerce. Une porte-parole du ministèere des Affaires étrangèeres et du Commerce international du Canada soutient que "l'investissement du Canada respectait ses obligations commerciales internationales". Pour développer la CSeries, Bombardier pourra bénéficier d'un investissement remboursable de 350 millions de dollars du gouvernement canadien, de 118 millions du gouvernement du Québec et de 134,37 millions de livres du gouvernement britannique. (La Presse, p-1 cah. Aff.)

La grippe A (H1N1) stimule Air Data
La PME montréalaise fabrique un système de protection qui supprime 99,99% des contaminants biologiques qui peuvent circuler dans les cabines d'avion. En 2004 l'entreprise a obtenu une licence d'une société européenne pour appliquer dans le secteur aéronautique une technologie qui avait fait ses preuves dans la station spatiale Mir et la station spatiale internationale. Air Data a fait certifier le systèeme par Transport Canada et la socitété montréalaise Innotech Aviation a commencé èà l'installer sur des appareils Global Express et Global 5000 de Bombardier. (La Presse, p-5 cah. Aff.)

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