lundi 29 mars 2010

29 mars

Un autre groupe Internet américain réduit ses activités en Chine
Le bureau d'enregistrement de noms de domaine Go Daddy annonce qu'il va réduire des activités en Chine, face aux mesures de contrôle renforcées des autorités. "Nous avons décidé de cesser de proposer de nouveaux noms de domaine .cn pour le moment." a déclaré la directrice juridique de G0 Daddy. Christine Jones. "Nous avons décidé que nous ne voulions pas nous conduire comme des fonctionnaires du gouvernement chinois". Go Daddy va tout de même continuer à gérer les quelques 27 000 noms du domaine .cn qu'elle a ouvert depuis avril 2005. "Nous sommes inquiets pour la sécurité des individus touchés par les nouvelles exigences et pour le frein qu'elles mettront à l'enregistrement de nouveaux noms de domaine .cn". (technaute.ca)

Des fournisseurs de services mobiles abandonneraient Google
Les opérateurs chinois de téléphonie mobile s'apprêtent à renoncer aux fonctions de recherches de Google, dans la foulée du départ de Chine continentale du moteur américain. Parmi eux, figure China Unicom, second opérateur de Chine, qui ne proposera pas les fonctions de recherches de Google sur ses téléphones mobiles utilisant la plateforme Androïd de la firme californienne. "Nous sommes prêts à travailler avec toute compagnie qui obéit aux lois chinoises (...) Nous ne coopérons pas avec Google actuellement" a déclaré le président de China Unicom, Lu Yimin. (technaute.ca)

20 ans de prison pour avoir piraté des millions de cartes de crédit
Albert Gonzalez, un jeune américain de 28 ans, accusé d'avoir piraté des millions de carte de crédit a été condamné à 20 ans de prison par un tribunal fédéral de Boston. Il a été inculpé de complot, fraude informatique et vol d'identité. "Il s'agit de l'exemple le plus important de piratage informatique de l'histoire américaine" a déclaré la jude Patty Saris. (technaute.ca)

Un écran vidéo dans un magazine italien
Le magazine italien Panorama a annoncé que son prochain numéro contiendrait un mini-écran vidéo permettant la diffusion de publicités, une technologie qui vient d'être lancée. Baptisée Video in Print, cette technologie permet la diffusion de spots publicitaires sur un muni-écran LCD contenu dans las pages du magazine. Cet écran diffusera des publicités pour la marque automobile française Citroën. Cette innovation technologique a été utilisée pour la première fois dabn le magazine Entertainment Weekly pour diffuser des publicités de la chaîne américaine CBS. La technologie Video in Print permet la diffusion de 45 minutes de contenus vidéo. Le mini-écran est doté d'une autonomie de 80 minutes mais est rechargeable grâce à un câble USB. (technaute.ca)

La Suède, pays le plus connecté au monde
Les pays scandinaves continuent d'être des économies les plus "connectées" en termes de technologie de l'information, selon un classdement du Forum économique mondial (WEF), dont la Suède a pris la première place. L'indice établi par le WEF en collaboration avec l'école de commerce INSEAD évalue dans quelle mesure les pays utilisent efficacement les technologies de l'information et des communications. (technaute.ca)

The End of the Russian Internet
Le régime de Vladimir Poutine s'apprête à lancer son propre moteur de recherche, considérant que Google n'est rien d'autre qu'un pion du gouvernement américain. Le moteur de recherche devra correspondre aux orientations des autorités russes et facilitera l'accès à des informations "sans danger" et filtera les sites qui contiennent des contenus interdits. Cet ambitieux projet nécessitera des investissements de 100 millions $. Les fonds étrangers ne pourront souscrire à ce projet mais les compagnies privées russes seront invitées à le faire. Selon l'analyste Evgeny Morozov, Moscou se prépare également a forcer les internautes russes à utiliser une adresse courriel fournie par l'État. Il considère qu'un "rideau de fer virtuel est entrain d'enfermer le pays de Vladivostok à Murmansk". (larussophobe.com)

Les jeux vidéo gratuits sur internet prennent de l'envergure
Longtemps assimilés à des passe-temps sommairement réalisés, les jeux vidéo gratuits sur Internet voient leur popularité grandir, grâce à des budgets de plus en plus importants et un modèle économique fondé sur les micro-transactions. Ce modèle baptisé "free-to-play", est originaire de Corée du Sud et de Chine, deux territoires difficiles pour les créateurs en raison du piratage, et parvient à séduire un public croissant en Occident. Disponibles pour des sommes allant généralement jusqu'à quelques euros, les articles proposés, comme des armures ou des épées, sont facultatifs et le fait de ne pas les posséder n'entrave nullement la progression du joueur. Environ 80% des joueurs n'achètent pas nos jeux. Il en reste donc 20% qui dépensent en moyenne une vingtaine d'euros pas mois. Pour ce faire, ils doivent créditer leur compte via l'un des nombreux moyens à leur disposition, par carte de crédit ou SMS notamment. (technaute.ca)

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