mardi 21 juillet 2009

21 juillet

Payer pour les erreurs d'Hydro-Québec : Des milliers d'abonnés victimes du mode de versements égaux
Option consommateurs estime que le nombre d'erreurs de facturation de se limiterait pas à 120 000 abonnés, mais dépasserait les 300 000. Le problème aurait été causé lors du transfert des renseignements pour la facturation avec le changement du système informatique. Dans un communiqué, le député de Jonquìère et porte-parole de l'opposition en matière d'énergie, Sylvain Gaudreault, trouve inaccceptable la tentative d'Hydro-Québec de faire payer ses erreurs de facturation à 120 000 abonneés dont certains subiront une augmentation de plus de 60%. (Le Soleil, p-4)

Coup de force pour mettre le grapin sur Cossette
Ayant à sa tête deux anciens dirigeants de l'agence de publicité du Québec, le Groupe Cosmos a déposé une proposition d'acquisition non-sollicités d'environ 51 millions $ pour l'achat de la totalité des actions à droit de vote de Cossette. Entreprise fondée en 1972, Cossette et ses 1485 employés vivent des moments difficiles, les dépenses de publicité de ses clients étant à la baisse. (Le Soleil, p-27)

Port de Sept-Îles : D'importantes perspectives de développement
Déjà deuxième au pays pour le transbordement du vrac, le port de Sept-Îles pourrait talonner d'ici cinq ans le premier port au Canada, Vancouver. Sept-Îles prévoit tripler son volume d'expédition annuel pour le faire grimper à 65 millions de tonnes métriques ce qui pourrait se traduire par la construction d'un ou deux nouveaux quais. Bien évidemment ces prévisions sont conditionnelles à la reprise économique. Le port de Sept-Îles entraîne d'importantes retombées annuelles. Ses principaux usagers sont la Compagnie minière IOC, Mines Wabush et Aluminerie Alouette, qui fournissent du travail à 4 000 personnes. (Le Soleil, p-29)

Livre électronique : Amazon a un rival
La chaîne américaine de librairies Barnes & Nobles a lancé ce qu'elle revendique comme étant la plus grande librairie électronique au monde, censée faire de l'ombre au géant du secteur, Amazon. Les ouvrages sont destinés, notamment, à être lus sur des ordinateurs ou téléphones portables. Le marché américain du livre électronique est pour le moment dominé par Amazon qui dit avoir 300 000 titres en stock, et qui propose le Kindle, son livre électronqiue. (Le Soleil, p-35)

Big Brother Amazon : la surprise Kindle
En supprimant à distance, dans les livres élcetroniques de ses clients, "1984" et "La ferme des animaux", l'entreprise de Seattle a déclenché l'ire de ses utilisateurs, qui lui reprochent son comportement... "orwélien". Question image, ça ne pouvait tomber plus mal pour l'entreprise de commerce électronique. Côté symbole, ça ne pouvait pas tomber mieux. Dans 1984, la censure gouvernementale efface toutes traces d'article gênants pour le régime en les expédiant dans des fentes murales menant à des fournaises, appelées "trou de mémoire". Et la semaine dernière, ce sont les deux livres d'Orwell "qui ont été balancés dans le trou de mémoire par Amazon.com". "La chose la plus terrifiante est qu'Amazon a la possibilité d'effacer ma propriété privée - un livre que je pensais avoir acheté, pas une licence - sur un lecteur (Kindle) que je pensais posséder, et pas louer. Il semble que la seule choses que nous pouvons faire pour prévenir de tels comportements orwéliens est d'acheter un livre papier. Au moins un mandat de perquisition sera requis" explique Jerry L. Roger, un client d'Amazon. Les termes du service agreement de Kindle ne disent pas que l'entreprise a le droit d'effacer des livres qui ont été achetés. En revanche, ils stipulent qu'Amazon accorde aux clients

La liberté sur Internet menacée par les fournisseurs d'accès ?
Philippe Le Roux, président de VDL2, une agence spécialisée dans la communication et le marketing Web, croit que la liberté d'expression est menacée quand les fournisseurs d'accès gèrent le trafic même s'ils jurent ne pas faire de discrimination. "Au Canada, les contenants et les contenus ont toujours été séparés, rappelle-t-il. Là, nous sommes en train de casser ce paradigme sur lequel repose la liberté d'expression depuis un siècle. Si le CRTC accepte celà (à long terme), Bell aura le même pouvoir que le gouvernement chinois". (canoe,com)

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