mardi 1 septembre 2009

1er septembre

Internet fête ses 40 ans
Il y a quarante ans, le réseau Arpanet, ancêtre d'Internet, faisait ses premiers pas. Son acte de naissance remonte au 2 septembre 1969, lorsque deux gros ordinateurs ont échangé des données via un câble de 4.5 mètres de long dans un laboratoire de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Les années 70 virent l'apparition de courrier électronique et des protocoles de communication TCP/IP permettant la connexion de multiples réseaux. La liberté qui a longtemps présidé à l'essor du Net est aujourd'hui moins d'actualité . Pour les ordinateurs, certains fournisseurs d'accès à Internet ont dressé des barrières pour réduire les services d'échange de fichiers, gourmands en bande passante, utilisés par les abonnés. Steve Crocker, un pionnier d'Internet qui dirige aujourd'hui la start-up Shinkuto, explique que la société a eu du mal à développer une technologie qui aide les employés de différentes entreprises à collaborer en raison de l'onmiprésence des "pare-feux", qui protègent les ordinateurs contre diverses menaces. (technaute.ca)

Funcom choisit Montréal
Spécialisée dans le développement de jeux vidéo en ligne créera une cinquantaine d'emplois à Montréal et à terme une centaine. Établie en Norvège en 1993, Funcom a un catalogue de plus de 25 titres offerts sur différentes consoles de jeux. (radio-canada.ca)

Élection législative partielle des Yvelines : le Parti Pirate entre en scène !
Le Parti Pirate (reconnu officiellement par le Parti Pirate International) va présenter pour la première fois en France un candidat à des élections. Le Parti Pirate prend le pari d'amener les débats sur les questions relatives au téléchargement sur Internet, au respect de la vie privée et au partage du savoir. (lepost.fr)

La nouvelle terre d'accueil
L'immigration est en forte hausse à Québec et plus de 85% des 7500 nouveaux arrivants ont choisi d'y rester. Ce taux de rétention est supérieur à la moyenne canadienne (80%). Les deux tiers des immigrants de Québec détiennent un diplôme postsecondaire, davantage que dans la population générale. Toutefois, on compte parmi les nouveaux arrivants deux fois plus de chômeurs, leurs revenus sont inférieurs et augmentent moins vite que les autres. (Le Soleil, p-8)
Divorce à l'amiable entre Bell et Microsoft
Les géants Bell et Microsoft ont décidé de faire bande à part pour tenter de s'approprier la part du lion des lecteurs et des revenus publicitaires. Bell gérera le site Sympatico.ca pendant que Microsoft s'occupera de MSN.ca, mettant fin à un partenariat en ligne qui existait depuis 2004. (Le Soleil, p-20)

Épidémies à la carte
En se servant des technologies de la géomatique, des équipes de chercheurs peuvent dorénavant analyser géographiquement l'apparition, le maintien et la transmission d'agents pathogènes, avec des résultats qui font penser aux modèles météorologiques. C'est ce que fait l'équipe du Dr Pascal Michel, coordonnateur du programme Déterminants environnementaux et de population, au Laboratoire de lutte contre les zoonoses d'origine alimentaire, (LLCZOA) de l'Agence de la santé publique du Canada. "On commence à voir des progrès considérables en prévention et prédiction des maladies grâce aux systèmes de détection précoce des événements". (Le Soleil, p-28)

Une carte à problème ?
La nouvelle carte OPUS utilisé à Montréal dans les transports en commun ne fait pas l'unanimité parmi les usagers. Elle se briserait facilement, se viderait mystérieusement de tous ses titres ou deviendrait tout bonnement illisible. Les distributeurs automatiques de titres (DAT) dans les stations de métro sont souvent en panne. Malgré tout, dans un bilan publié le 28 mai dernier, un an après le lancement d'OPUS, la STM affirme que la nouvelle carte recueille un taux de satisfaction de 90% au sein de sa clientèle. Chaque jour, les réseaux de la STM enregistrent en moyenne 1 million de passages validés à l'aide d'une carte OPUS. (La Presse, p-A3)

Division informatique de Montréal : La fraude atteint 10 millions - Un troisième fonctionnaire congédié
Des firmes informatiques québécoises avaient obtenues des avantages financiers qu'elles doivent maintenant rembourser à la ville via des retenues de paiement. Mais cette fraude a entraîné une sérieuse révision des procédures : "Parmi les lacunes constatées au niveau de la gestion au sein de la DSI, il y avait la séparation des tâches, le contrôle, le fait qu'il n'y avait pas assez de personnes au contrôle interne" explique Claude Léger, le directeur général de la ville. (La Presse, p-A7)

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