2 février 2009

"Google Bug" : la faiblesse est humaine... le géant des moteurs de recherche aussi !
De 15h30 à 16h25, samedi dernier, toutes les recherches sur Google dans le monde renvoyaient vers une page de résultats ponctuée pour chaque réponse d'avertissement : "Ce site risque d'endommager votre ordinateur". Le bogue est venu du système utilisé par Google pour bloquer l'accès aux sites réellement dangereux. Sur son blogue officiel, Google explique "c'était clairement une erreur, et nous sommes désolés" (...) "une erreur humaine tout simplement". (lexpress.fr)

Une réforme informatique deux fois plus chère pour Hydro
Selon une étude qui sera rendue publique demain, par l'Institut économique de Montréal, la modernisation des systèmes informatiques d'Hydro-Québec est un projet titanesque : intégrer les quelque 200 logiciels auparavant utilisés par Hydro dans ses relations avec ses abonnés. Des sources proches de la société d'État soulignent également que les coûts de formation du personnel au nouveau système ont très largement dépassés les prévisions. (cyberpresse.ca)

En quête de partenaires européens : le maire Labeaume entreprend une tournée d'une semaine en France et en Belgique
Le maire veut jeter les bases d'un réseau économique au sein de l'Association des maires de la Francophonie. D'autres acteurs de Québec se joindront à la mission : entreprises privées, PÔLE Québec-Chaudière-Appalaches, Fondation de l'entreteneurship, le Centre des congrès et ministres du gouvernement québécois. (Le Soleil, p-4)

Le Québec sur la touche : la province n'est pas encore prête à adopter la stratégie politique branchée de Barack Obama
Michael Carpentier, spécialiste Web chez la firme Zengo : "Obama n'a rien inventé. Tous les outils dont il s'est servi n'attendaient que ça". Un député fédéral a confié à M. Carpentier que "son parti était en retard de 5 -6 ans sur ce qui se faisait aux État-Unis". Actuellement, aucun parti n'a de stratégie orchestrée pour le Web. (Le Soleil, p-6)

De l'Assemblée nationale à votre salon
Il y a trois grandes fonctions à la cyberdémocratie : évaluer les résultats des politiques, participer à l'élaboration de politiques et soumettre des idées et des projets que le gouvernement s'engage à considérer. (Le Soleil, p-6)