jeudi 5 mars 2009

5 mars

Google et Facebook vous dévoilent aux recruteurs
Pour Albert Paoli, directeur du cabinet de recrutement AP Conseil, entrer le nom d'un candidat dans le premier moteur de recherche mondial Google ou le réseau social Facebook, pour y dénicher des informations, est devenu un réflexe dans sa procédure de sélection des candidats qu'il propose aux PME et PMI. "Pour un poste de management, il est un peu inquiétant quand on constate, en entrant le nom du candidat dans Google, qu'il n'y ait rien sur lui. Il est important qu'une personne ait une vitrine. Dans le cas contraire, c'est mauvais signe" explique le directeur des ressources humaines du CAC 40. "Si j'ai deux candidats en face de moi, l'un avec des articles sur Google et l'autre non, mon intérêt vA être fortement tourné vers le premier". (technaute.ca)

La "fraude aux clics" en plein essor
La fraude sur les bandeaux publicitaires du web sont en plein essor et ont représenté plus de 17% des "clics" répertoriés par les spécialistes au dernier trimestre 2008, selon un rapport de la société Click Forensics. Des réseaux entiers d'ordinateurs piratés, dits "botnets" seraient responsables à eux seuls de près du tiers de cette fraude, qui vise, en surestimant le nombre de "visites" des publicités, à renchérir les frais publicitaires des annonceurs. "Il semble que le secteur de la publicité sur l'internet ne soit pas à l'abri de la vague grandissante de la cybercriminalité en ces temps de récession" souligne le président de Click Forensics, Tom Cuthbert. (technaute.ca)

Les réseaux sociaux font une entrée timide dans les entreprises
À l'image des réseaux sociaux grand public comme Facebook, qui séduisent des millions d'internautes, des entreprises mettent en place des outils de mise en relation pour favoriser la collaboration de leurs salariés. BlueKiwi, une société française commercialise un logiciel permettant de créer des communautés et répliquer en quelque sorte Facebook "de façon sécurisé, confidentielle et surtout professionnelle". Les entreprises ayant acquis le logiciel ont pour objectif de "développer les échanges, stimuler l'innovation et mieux connaître les compétences de leurs salariés" via leurs profils. Cet outil boulverse toutefois les hiérarchies : "Avec le Web 2.0, il faut accepter un nouveau modèle de gouvernance" note la compagnie. Une difficulté en France, où, contrairement aux États-Unis, les structures sont très pyramidales. (technaute.ca)

Les abonnés de Bell pourront "twitter" gratuitement
Le site de partage d'infOrmation Twittrer avait annoncé que les abonnés pourraient envoyer des messages textes sur Twitter gratuitement, mais Bell avait affirmé le contraire. Devant les nombreuses plaintes des utilisateurs, Bell a finalement décidé de se raviser. Les messages reçus et envoyés via Twitter seront donc inclus dans les différents forfaits de la messagerie. (technaute.ca)

La cybercriminalité, un "crime organisé" qui rapporte des millards
Le Russe Eugene Kaspersky, formé au cryptage d'écriture par le KGB et aujourd'hui l'un des grands spécialistes internationaux des programmes anti-virus, avance un total de 100 milliards d'euros par année de gains réalisés par les cyberpirates. "Là où il y a cinq ans nous recensions 2 000 virus par jour, nous en sommes aujourd'hui à 20 000" assure Magnus Kalkuhl, analyste de virus pour la compagnie Kaspersky Lab. Pour ce spécialiste des virus, la solution "serait un cours de sécurité informatique dès l'école" pour déjouer ce piratage "qui n'est plus un jeu". (technaute.ca)

Desjardins clarifie ses projets d'embauche
Le Mouvement Desjardins a senti le besoin de clarifier ses intentions en matière d'embauche à sa filiale Desjardins Sécurité financière à la suite d'un article faisant étaT de l'ajout de 1000 nouveaux employés à son siège social de Lévis. Ce chiffre selon le Mouvement Desjardins est inexact. En fait, Desjardins Sécurité financière, qui emploie 2200 personnes, dont 1700 à son siège social de Lévis, songe à rapatrier les 500 autres à ce siège social afin de regrouper l'effectif à un seul endroit, ce qui ne créera aucun nouvel emploi. (cyberpresse.ca)

Luc Bertrand est prêt à relever le défi de la Caisse
"Si je peux aider de quelqu façon que ce soit, si on juge que je peux apporter une certaine expertise, alors vous pouvez compter sur moi". C'est en ces termes que Luc Bertrand, qui quittera la Bourse de Montréal le 1er jullet, s'est exprimé aux médias, ajoutant : "Il est temps qu'on se retrousse les manches pour rebâtir la Caisse". (cyberpresse.ca)

Robert Tessier présidera le conseil de la Caisse
Le gouvernement du Québec s'apprête à annoncer que Robert Tessier, l'ancien mandarin du Conseil du trésor passé depuis chez Gaz Métro, présidera le conseil d'administration de la Caisse de dépôt. Par ailleurs, un nouveau visage s'en vient : Réal Raymond apparaîtra aussi parmi les membres. Il était le grand patron de la Banque Nationale, l'autre institution qui avait acheté des papiers commerciaux en même temps que la Caisse de dépôt et de placement. (cyberpresse.ca)

Le Fonds des générations fOnd plus vite que la dette
Une semaine après la divulgation tant attendue des résultats officiels de la Caisse de dépôt et de placement pour 2008, le ministère des Finances refuse de révéler l'ampleur des dégâts subits par le Fonds des générations pour rembourser la lourde dette du Québec. Le Fonds des générations avait été confié à la Caisse de dépôt pour qu'elle le fasse fructifier. Ce qu'il en reste aujourd'hui est un secret d'État. (La Presse, p-1 cah. Aff.)

Un laboratoire grandeur nature pour l'Innoparc
L'Innoparc de Lévis devrait accueillir la nouvelle Chaire de recherche industrielle en efficacité énergétique de l'Université du Québec. Une trentaine de chercheurs internationaux seraient intéressés à collaborer dès septembre prochain. La Chaire, développée en partenariat avec l'École de technologie supérieure, prendrait des contrats de recherche provenant de diverses entreprises qui veulent améliorer leur efficacité énergétique et réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Six personnes travaille au démarrage de la Chaire. (Le Soleil, p6)

Code de bonne conduite des entreprises minières à l'étranger : Le Bloc revient à la charge
"Les histoires d'horreur mettant en scène des entreprises canadiennes dans des pays en développement ternissent non seulement la réputation de l'industrie, mais également celle du pays" ont rappelé les députés bloquistes Paul Crête et Johanne Deschamps. Plus de deux ans après le dépôt d'un rapport émanant de tables rondes sur l'industrie minière, aucun plan d'action n'a été mis en place pour éviter les dérives sociales et environnementales à l'étranger des ces entreprises. (Le Soleil, p-21)

Aucun commentaire: