vendredi 29 janvier 2010

29 janvier

Mussolini débarque en grande pompe sur l'iPhone
L'application iMussolini fait polémique en Italie, d'autant qu'elle est l'application payante la plus téléchargée dans le pays. Le petit programme permet aux Italiens de retrouver les discours les plus marquants du dictateur Benito Mussolini, mais aussi des photos, des vidéos, etc. iMussolini "ne célèbre pas le fascisme" assure un collaborateur d'Apple à l'origine de l'application. Celle-ci a une valeur historique. "Elle tend à rendre disponible sur iPhone un document historique sur un personnage qui a de toute façon écrit une page importante de notre histoire" explique de son côté la decription de l'application. (nouvelobs.fr)


La santé en retard d'une révolution
(Éditorial d'Alain Dubuc) "Il y a un secteur d'activités majeur qui a pratiquement échappé à la vague planétaire des technologies de l'information et des communications : la santé. Pour ce secteur, qui représente pourtant 10% de l'activité économique et qui constitue une priorité pour une majorité de la population, le temps s'est arrêté quelque part dans les années 70 (...) Le deuxième fascicule produit par les quatre économistes chargés par le ministre des Finances de l'éclairer sur la reprise économique, exploite une piste pour faire plus et mieux avec tout l'argent que l'on investit en santé : l'informatisation. Sauf que la pratique de la médecine, au Québec, a été oublié par la révolution numérique (...) Pourquoi ce retard? Pour des raisons administratives. Notre gouvernement s'est lancé dans un vaste projet d'informatisation, le Dossier santé Québec, qui est jusqu'ici largement un échec, avec des retards, des dépassements de coûts, des résistances sociétales au dossier électronique. Celà freine les progrès ailleurs dans le système (...) C'est un retard gênant" (La Presse, p-A19)

Le développement de l'internet en Chine menacé
La querelle en cours entre Google et la Chine menace le développement de l'internet dans ce pays, si elle devait se solder par un retrait du marché du géant américain, estiment des experts au moment où les deux parties tentent de trouver un compromis... difficile à trouver. "Si Google décide de partir, celà aura des conséquences considérables sur le marché des moteurs de recherche, aujourd'hui dominé par le chinois Baidu, qui détient 58,4% des parts de marché contre 35,6% pour Google", souligne Li Zhi, d'Analysys International. "La compétition est essentielle à un développement sain d'un marché" explique-t-il. "S'il n'y a plus qu'un acteur dominant dans ce secteur, les victimes seront le consommateur chinois et l'innovation" estime Ted Dean, directeur de la société de consultants BDA. spécialisée télécoms et technologies. Qu'il parte ou reste, Google se prépare des jours difficiles en Chine car si Google.cn est fermé, "ils peuvent conserver la recherche et le développement en Chine mais le gouvernement chinois ne va pas ine va pas leur faciliter la tâche et quel ingénieur de premier plan va vouloir travailler pour eux? S'ils conservent le moteur de recherche en Chine, bon nombre de compagnies ne voudront pas lancer de campagnes avec eux de peur qu'ils ne menacent une nouvelle fois de partir" (technaute.ca)

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